En quelques mots le décodage biologique est la faculté de votre corps à vous parler, au travers des symptômes. Si vous savez écouter (ce que vous explique le décodage biologique), vous saurez adresser la cause du problème, la corriger, et ainsi vous débarrasser du symptôme, sans recourir à des médicaments ou de la chirurgie, de façon naturelle, comme il se doit, tel que vous fonctionnez.
C’est du vécu !
J’en ai fait l’expérience, pour un symptôme aussi insignifiant qu’une petite verrue. Elle m’a accompagné pendant plus de 10 ans, j’ai tout essayé. Un jour, j’ai rencontré une personne experte en décodage. Il m’a expliqué les raisons de la présence de cette verrue. J’ai corrigé cet aspect dans ma vie, et 3 jours après avoir (quand même) quitter mon boulot et mon employeur pour me mettre à mon compte, la verrue a disparue et n’est plus jamais revenue. Magique !? Pas du tout…
Patrick Obissier nous en dit plus
Voici un article très intéressant de Patrick Obissier, auteur du premier livre Français sur le sujet à avoir été traduit en Américain : « Décodage biologique et destin familial » Ed. Le Souffle d’Or 2003 et 2006
Note : je sais qu’il est plus facile de prendre un médoc que de lire cet article ou de quitter son travail ou sa ville. Mais si vous tenez vraiment à une bonne santé sur le long terme, sans dépendre des big pharmas, alors je vous suggère vivement de lire ce qui suit.
Demain sous un autre jour en découvrant le processus biologique de survie
Notre corps nous adapte de manière ordinaire à ce que nous vivons d’ordinaire et nous adapte de manière extraordinaire à ce que nous avons vécu d’extra-ordinaire le temps d’un instant. Il est probable que sans un processus aboutissant à des adaptations extra-ordinaires du corps (maladies ou lésions accidentelles), l’on mourrait immédiatement de toute crainte non partagée, vécue dans l’isolement ! Le processus a été mis en lumière à la fin du 20ième siècle.
Quand nous avons été choqués de ne pouvoir agir pour obtenir ce que nous désirions ou éviter ce qui nous était imposé, nous avons éprouvé un instant une crainte de n’être pas adaptés à notre réalité. Si avant de l’oublier, nous n’avons pas réduit notre crainte en l’exprimant à quelqu’un, notre cerveau en garde l’impact (visible au scanner). Et, plus tard, nous la ressentirons car un événement la réveillera (souvent au double de l’âge !). Lorsque nous sommes à nouveau choqués de ne pouvoir agir et ressentons cette crainte, pour ne plus la ressentir à l’avenir, notre corps nous adapte à la contrariété. Notre cerveau incite l’un de nos organes à se modifier, ou nous mène à un accident qui le modifie.
Nous survivons à nos craintes non partagées, vécues dans l’isolement grâce à ce processus. Après une crainte d’avoir été insuffisant(e) pour agir, l’organe concerné (ou son fonctionnement) augmente. Après une crainte d’avoir été excessif/ve, l’organe (ou son fonctionnement) se réduit. La modification est contraire au ressenti, et empêchera de ressentir encore la crainte.
Symptômes & décodage biologique: le corps nous parle
Cancers, ulcérations, décalcifications, paralysies, hyper ou hyposécrétions, infections, métastases, douleurs, etc. mais aussi égratignures, fractures, entorses, allergies se produisent aux organes concernés lorsque nous sommes dans l’impossibilité d’agir. Ainsi :
- une altération au genou droit évitera de ressentir encore une crainte de se soumettre.
- Une altération des bronches évitera de ressentir encore une crainte de ne pouvoir influencer quelqu’un ou d’être influencé par quelqu’un.
- Une tumeur au poumon évitera de ressentir une peur de mourir.
- Une altération de la peau évitera de ressentir une crainte d’un contact ou de ne pas retrouver un contact.
- Une hyperglycémie évitera de ressentir une crainte de ne pas retrouver de douceur.
- Un cancer canalaire d’un sein évitera de ressentir une crainte de ne pas retrouver de communication sécurisante avec un enfant ou un proche.
- Les troubles de mémoires éviteront de ressentir une crainte de ses reflets.
Certaines coïncidences de craintes provoquent des troubles psychologiques. Les microbes et les virus sont utilisés lors de certaines réparations d’organes.
Le rapport entre crainte non partagée et pathologie peut apparaitre à la seconde fois qu’une crainte est éprouvée puisque la première fois, le cerveau ne déclenche pas d’adaptation. Mais certaines pathologies sont perçues bien après leur début, souvent lorsqu’elles commencent à être éliminées.
En effet, quand on “a tourné la page” avec une contrariété, un conflit, parce que l’on a changé son opinion sur un événement ou parce que notre réalité a évolué et nous satisfait enfin, l’organe modifié redevient normal après inflammation. L’utilisation de microbes ou de virus si l’en est d’utiles, apparaît, dont les symptômes sont évidents.
Mais cette phase de retour à l’état normal s’éternise si la crainte en cause n’est pas entre-temps exprimée. De plus, si une gravité des symptômes est annoncée ou si la gêne qu’ils provoquent choquent et font ressentir d’autres craintes que l’on n’exprime pas, des adaptations supplémentaires se produisent.
Comment le décodage biologique aide à guérir
On guérit de ses pathologies si les craintes qui en sont à l’origine sont exprimées, entendues par quelqu’un, et ainsi partagées, réduites. Mais si l’on se souvient des contrariétés et des conflits que l’on a vécus, retrouver la crainte éprouvée à un moment précis de ceux-ci est peu probable sans les questions d’une personne connaissant le processus.
Le diagnostic établi, permet de retrouver dans quelles circonstances la crainte en cause a été éprouvée la première fois puis ressentie. Le but est de la ressentir à nouveau et enfin la dire, l’ex-primer, pour que l’adaptation du corps deviennent inutile. Alors déchargé de sa mission extraordinaire par notre cerveau, l’organe, après un temps de réparation, retrouve son état ou son fonctionnement normal. Pour éviter plus tard une récidive de cette pathologie, l’événement ayant suscité la crainte devra être évité. Ou mieux, la gestion que l’on avait eu de cet événement devra s’améliorer (discerner l’incidence d’un vécu parental ou de la relation aux parents sur cette gestion peut être nécessaire).
Le corps s’exprime, dans tous les cas
Chacun a constaté que des maladies, douleurs, lésions accidentelles surviennent après des contrariétés. Mais comprendre que l’on guérit parce que l’on a exprimé une crainte est moins fréquent. Le fait d’aider une personne à retrouver dans son vécu une crainte oubliée peut prendre du temps. Une fois cette crainte retrouvée et exprimée, la guérison n’est souvent pas forcément immédiate. Ces deux aspects ont, entre autres, écarté les soignants d’une telle thérapeutique, ce qui a réduit les humains à atténuer leurs symptômes avec des remèdes. Quand le processus de survie sera compris partout, quand la recherche des craintes à l’origine des maux sera une des priorités des soins, la vie des humains sera embellie.
Après avoir été choqués, pour éviter maladies ou accidents, exprimons aussitôt à quelqu’un la crainte que nous venons d’éprouver. Si des proches viennent d’être choqués, incitons-les à dire ce qu’ils ont éprouvé !
“Le droit le plus fondamental de l’homme ne serait-il pas d’être informé, non pas de ce qui se passe en dehors de lui, mais avant tout de ce qui se passe en lui ?” Pr Henri Laborit
“Les hommes sont tourmentés par les opinions qu’ils ont des choses, non par les choses elles-mêmes” Montaigne
“Ce dont j’ai le plus peur, c’est de la peur” Montaigne (Essais)