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Santé : ce que j’ai appris

En terme de santé, voilà ce que j’ai appris et retenu au fil du temps, des expériences, de mes lectures, visionnages, etc… C’est aussi ce qui me parait le plus pertinent, et cela met en avant la plus importante des valeurs… Devinez laquelle? (réponse à la fin de cet article)

1. Ce n’est pas un seul aspect de santé qui fait la différence, c’est tout un ensemble de variables

Ce n’est pas seulement la nourriture, ou l’environnement, ou l’exercice que vous faites, qui fera une réelle différence pour votre santé, c’est l’ensemble de vos habitudes. Il est intelligent de commencer par un aspect, et puis en incorporer un nouveau quand le précédent est devenu une habitude, mais il faut agir sur toutes les variables de votre environnement pour retrouver une santé pérenne : ce que vous mangez, ce que vous buvez, l’air que vous respirez, l’exercice que vous faites et à quelle fréquence, le stress que vous vivez (oui changer de boulot peut être une excellente idée pour retrouver la santé), vos pensées, etc…
Le livre Les Remèdes Naturels qu’ILS ne veulent pas que vous connaissiez est un chef d’œuvre pour ça, car il vous rend votre responsabilité, et vous décrit justement tous les aspects à modifier/changer pour retrouver votre santé naturelle.

2. Vous devez créer votre propre formule de santé

Si vous entendez quelqu’un vous délivrer LA méthode qui a fonctionné pour lui, elle ne fonctionnera peut être pas pour vous, ou pas de la même manière. Chaque être humain est différent, chaque environnement de chaque être humain est différent. Un poisson dans une eau sale ne sera pas en bonne santé même s’il suit le même traitement que le poisson d’à côté qui est dans une eau propre et saine.

VOTRE méthode étant dépendante de toutes vos variables, vous devez vous inspirer des méthodes qui existent, et créer la vôtre. Pour cela, il vous faut tester, ressentir, essayer, jusqu’à avoir ce feeling qui vous dit que ça y est, vous avez trouvé ce qui marche pour vous. Une fois trouvé, ne vous laissez pas distraire par le voisin qui a une autre méthode, inspirez-vous en mais écoutez votre ressenti.

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3. Un symptôme est un indicateur que votre corps est en déséquilibre

Il faut l’écouter plutôt que de le supprimer. Lorsque vous prenez un coup par exemple, beaucoup diront de mettre de la glace sur le bleu, mais croyez vous que le corps ne sait pas ce qu’il fait? Si on n’est pas venu au monde avec un seau de glace, c’est peut-être qu’il n’y en a pas besoin. Le bleu est un symptôme et il est là pour réparer/régénérer. Lorsque vous avez de la fièvre, c’est un symptôme qui est là pour réparer/régénérer, le supprimer revient à supprimer ce qui va permettre la régénération.

Aimez vos symptômes, je sais que la médecin traditionnelle crie victoire quand elle a supprimé un symptôme mais ce n’est pas comme ça que ça fonctionne. Le symptôme est important, il faut le comprendre, et l’écouter. Un cancer peut être un signal qu’il faut changer de lieu d’habitation ou de travail, si vous ne changez rien, le corps continuera de vous prévenir. Alors apprenez à écouter et lire la signification de vos symptômes, car votre corps vous parle. Et si vous savez l’écouter, vous resterez toujours en bonne santé.

4. N’attendez pas d’avoir des symptômes pour mettre en place des habitudes saines

Si vos habitudes sont déjà saines, tant mieux, c’est parfait. Si vous n’avez aucun symptôme mais que vos habitudes ont sérieusement besoin d’être assainies, n’attendez pas d’avoir des symptômes, changez-en dès maintenant.
Le corps est une puissante et complexe machine capable de miracles, mais elle n’est pas inépuisable. Alors prenez soin de votre corps, dès maintenant.

Un jour une personne m’a demandé si je prenais des médicaments.
J’ai dit non, jamais.
« Même pas de l’aspirine de temps en temps. »
J’ai dit non.
« Même quand tu fais une soirée un peu arrosé, et que t’as mal à la tête de lendemain? »
et je lui ai répondu : « Je ne fais pas ça :). Et même si je le faisais, je ne prendrai pas de médocs. »
Ce qui fait du bien à votre corps ce n’est pas de prendre une aspirine après une cuite, c’est de ne pas vous foutre en l’air en soirée… Et c’est un choix, responsable…

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5. Arrêtez de nommer les maladies

Lorsque l’on a des symptômes, par exemple, toux et fièvre, ce sont juste 2 symptômes. En attendant un petit peu, cela va évoluer pour nous indiquer autre chose, un chemin vers la guérison ou des choses à modifier. Mais dès lors que l’on nomme la maladie, on se met dans une case et régulièrement, ce n’est pas la bonne case en plus. Une fois dans la case, il y a un protocole ou des suggestions à suivre, voire même des symptômes que l’on va s’imaginer ressentir, car dans cette case, on est censé les ressentir…

La médecine traditionnelle adooooore les cases. Mais en ne nommant pas la maladie, on se permet de l’observer et on s’occupe seulement des différents symptômes. Ainsi on ne complique pas le processus, on ne s’imagine pas tout un tas de choses liées à la case correspondante, et on évite de se faire du souci.
Rester précis sur le symptôme sans élargir à une « case » est le meilleur moyen de rester serein plus longtemps.

Et si je résume tout en un seul aspect

Et finalement, la réponse à la question du début devient évidente, d’autant qu’il y avait des petits indices . Alors, quelle est-elle?

LA RESPONSABILITÉ.

Prenez soin de vous !

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